La rentrée politique est là et l’atmosphère est déjà irrespirable à gauche. Tantôt on se traite de tous les noms par Twitter interposé (je n’arrive pas à dire X). Tantôt on siffle les alliés qu’on a invité aux universités d’été. Ou mieux, on se dispense d’en inviter pour rester entre soi. Plus grave, pour se voir délivrer d’absurdes brevets d’honorabilité politique accordés par des autorités politiques ou médiatiques très contestables, on se soumet sans rébellion aux injonctions qui réduisent un homme à ce qu’on dit de lui, une femme aux vêtements qu’elle porte, effaçant au passage ce qu’ielles disent ou font.
De tout cela ne ressort logiquement que division, trouble et tohubohu qui, si rien ne change, conduiront la Nupes au cimetière à brève échéance.
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